LAdolescente Et Le Médecin De Famille (3)
- Chantal, noublie pas que tu dois aller chez le médecin ce soir.
- Oui maman.
Je navais pas besoin quelle me le rappelle. Je savais trop bien quil mattendait. Jétais habitée par un étrange sentiment. La honte, bien sûr, mais aussi lexcitation. Penser soudainement à lui et à nos rencontres provoquait chez moi aussitôt une sorte de chaleur au bas du ventre. Je me suis vite rendue compte que cela me faisait mouiller alors que je me trouvais dans une situation banale.
Le soir venu, juste après le dîner, je passe un jogging, nue dessous et une paire de baskets. Quand je descends pour y aller, ma mère sapproche de moi et sans attendre tire sur la fermeture éclair de ma veste de jogging :
- Cest bien, tu es belle ma fille ! Notre bon docteur sera apprécier ta beauté je suis sûre.
Elle referme ma veste à moitié, juste sous ma jeune poitrine. Je lembrasse tendrement et je sors.
Il est plus de 20 heures quand jentre dans la salle dattente. Une femme assez âgée attend assise sur une chaise une revue à la main. Elle est très classe. Je la salue timidement, elle lève les yeux mais ne me répond pas. Vieille conne ! Je pense en moi-même. Je prends un magasine et plonge dedans. Jai le sentiment dêtre observée. Je lève les yeux et mon regard croise celui de la conne qui je le vois bien est en train de lorgner dans mon décolleté. Je laisse faire, plutôt contente.
On entend des portes souvrir, il raccompagne un malade. Puis cest la porte du salon qui souvre. Il me fait un sourire et demande à la vieille de le suivre. En passant près de moi, elle ne se gêne pas pour regarder à nouveau dans mon décolleté.
Il ne se passe pas 5 minutes quil ouvre la porte à nouveau et me demande de venir. Quand jentre dans la salle dexamen, la dame est là, assise à son bureau. Je réalise soudain que je nai pas entendu les portes souvrir pour la raccompagner.
- Chantal, je te présente le docteur X, une amie de longue date.
La vieille madresse un sourire à peine amical. Jai peur, elle nentrait pas dans mes fantasmes avec le « bon docteur » de la famille.
- Approche toi. Tu es nue sous ton jogging ?
Cette question aussi brutale me déstabilise. Et devant cette mégère. Je me sens rougir, une bouffée de chaleur menvahit. Aucun mot ne sort de mes lèvres. Je suis tétanisée et je sens que je suis au bord des larmes. Je reste plantée debout, raide à deux pas du bureau où ils sont assis, les yeux baissés sur mes chaussures.
- Allons Chantal, ne soit pas timide, Martine est une grande amie et médecin en plus. Tu dois faire comme avec moi. Alors dis-nous bien clairement. Tu es nue sous ton jogging ?
- Oui, docteur.
Je nen reviens pas davoir répondu aussi vite et aussi clairement.
- Tes parents sont bien au courant hein, je ne veux pas dennuis.
- Oui docteur, ma mère sait que je viens pour ma consultation. Cest même elle qui ma demandé de ne pas oublier!
Je suis contente de lui dire cela. On reviens dans notre histoire.
- Dêtre nue ?
- Oui.
- Très bien ! Dis nous, tu nas pas honte de te promener comme ça, nue sous un simple jogging ? Cela texcite peut-être ?
-
- Alors tu veux répondre quand on te parle petite sotte !
Cest la dame qui vient de parler. Elle a une voix forte et sévère. Elle me fait peur. Je commence à trembler. Jai envie de partir mais je me sens incapable de bouger. Je garde les yeux sur mes chaussures.
- Chantal, on va se fâcher tu sais. Allez réponds !
- Jai honte docteur, oui.
- Mais tu as obéis, tu dois aimer cela non ? Allez réponds Chantal !
Cest vrai que jétais excitée et même je sentais que je mouillais entre mes jambes. Javais honte, mais cette fois encore ce mélange de honte et dhumiliation me donnait chaud.
- Oui docteur, jai honte.
Javais à peine parlé, doucement entre mes lèvres.
- Plus fort hurlât-elle.
- Oui, jai honte, je finis par dire à haute voix en même temps quun sanglot faisait trembler ma voix.
Je ne savais plus quoi penser, jétais subjuguée. Jen voulais au médecin, il mavait en quelque sorte trahie. Nous étions devenus complices et je garde encore le souvenir de son sperme sur ma peau.
- Approche toi que je te vois petite gourde, dit la dame.
Cette fois javais compris quil fallait obéir et, toute tremblante, je mapprochais delle. Elle me pris le bras et me fit tourner sur moi-même lentement.
- Ce doit être bien joli ce que cache cet affreux sur vêtement, nest-ce pas Claude?
- Tu veux voir ?
- Oui mais je veux que ce soit la petite que me montre. Allez petite Chantal, montre nous tes trésors. Commence par ouvrir complètement cette fermeture éclair.
A partir de cet instant je savais que je ne saurais plus rien leur refuser. En plus cette matrone men imposait et je me sentais devenir petite fille au simple son de sa voix. Je crois bien que déjà je mouillais. Ce rapport de domination mexcitait cest sûr.
Lentement je fis descendre la fermeture éclair de mon haut de jogging faisant apparaître ma jeune poitrine aux deux personnes. Claude (je lappellerai comme cela maintenant) sest levé, a contourné son bureau pour venir sasseoir dessus et mieux me voir. La dame a tourné sa chaise vers moi. Ils sinstallaient pour le spectacle.
Une fois débarrassée de mon haut, Claude ma demandé comme hier de marcher vers la porte et revenir vers eux lentement. Mes seins trop petits balançaient à peine mais je sentais que mes pointes durcissaient. Claude avait sorti son sexe et se caressait doucement. Il bandait très haut. La dame restait de marbre ce qui ajoutait à mon intimidation.
- Tu vas mettre les mains sur la tête et refaire un tour, demanda Claude.
Sans hésiter jobéis.
- Elle a de beaux nichons ta pouliche Claude. Plantés hauts et larges et bien dodus. Comme je les aime. Lève les bars Chantal
bravo, bien accrochés ! Enlève le bas maintenant, et doucement quon puisse admirer ton cul et ta chatte, petite grue.
Cette insulte au lieu de me vexer ma excitée encore plus. Prise pour une pute !
Jai descendu lentement mon bas de jogging, levant une puis lautre jambe. Une fois nue, je me suis plantée droite devant eux sans rien leur cacher.
- Mais voilà quelle aime ça, la garce de nous montrer son minou. Elle a des poils bien arrangés. Regarde Claude, on voit des traînées de mouilles sur son pubis. Ta petite est une vrais salope, elle va bien faire laffaire je suis sûre. Approche toi que je touche, arrive !
A peine à portée delle, elle plonge sa main entre mes cuisses, les forçant à souvrir. Son autre main passe derrière et se saisit de mes fesses pour mattirer à elle. Ses jambes ouvertes, je suis collée à elle et je sens sa grosse poitrine contre mon ventre. Sans aucune douceur ni ménagement, je sens un doigt sintroduire dans mon petit trou et remuer. Devant elle a saisi mon petit bouton et le fait rouler entre deux doigts. Elle me regarde en en riant :
- Dis moi petite salope, cest la première fois que tu te fais doigter par une femme ? Dis la vérité !
- Oui madame.
- Tu mens ! Allez avoue, tu as bien dû te faire toucher par des petites copines à lécole non ?
- Oui, madame.
- Tu vois, je le savais bien. Raconte-nous un peu.
Et là je me suis mise à raconter, ma copine Adèle, dans les toilettes, on se baissait nos culottes pour nous toucher avec les doigts. On jouait aux grandes ! Qui avait plus de poils. On se suçait nos petits seins à peine sortis mais qui déjà savaient bander. Et avec Emma, toutes les trois chez elle. On se mettait nues au lit et on se léchait mutuellement.
Plus je racontais plus je sentais la jouissance menvahir.
- Cest une vraie fontaine cette petite, elle promet. Tu aimes cela hein ma belle. Mes doigts te rendent folle non ? Avoue, allez avoue petite chienne !
- Oui Madame.
- Quoi oui ?
- Jaime bien ce que vous me faites.
- Et quest-ce que je te fais petite salope ?
-
- Tu veux parler oui !
Le ton est violent et en même temps elle enfonce ses doigts encore plus profondément dans mes chairs. Jai envie de pleurer.
- Vous me caressez madame.
- Où ?
- Dans mes petits trous.
- Dis-moi quels trous.
- Le trou de derrière et celui de devant
- Tu te fous de moi, comment ils sappellent ces trous.
Elle enfonce encore plus son doigt dans mon derrière.
- Le cul et le minou madame.
Soudain je sens la jouissance menvahir, je lui prends sa main et la plaque contre mon ventre. Je ne sais plus où je suis, je manque dair et mon ventre me fait mal. Elle pousse entre mes fesses et je sens que ce sont deux puis trois doigts qui me violent le cul. Devant elle joue de ses doigts sur mon petit bouton. Jai les jambes en coton, jai peur de mévanouir.
Je sens quelle me pousse vers Claude. Une main se pose sur ma tête et me force à me baisser. Jouvre les yeux et je vois devant moi le sexe rouge violet du médecin.
- Allez petite ouvre la bouche et suce cette bite.
Cest la première fois que cela marrive. Le bout est entièrement sorti de la colonne de chair. Il sent fort le pipi et est tout enduit dune crème visqueuse. Comme une automate jouvre la bouche. Le toubib me prends la tête et enfonce son sexe jusquau fond de ma gorge. Cest chaud, salé. Je sens monter lenvie de vomir. Il reste planté dans ma bouche et jai du mal à reprendre de lair. La dame accélère ses va et viens dans mes intimités. Je veux crier mais un jet chaud envahit ma bouche. Claude jouit et éjacule son sperme au fond de ma gorge. Cest brûlant, violent. Le jus déborde sur mes joues, couvre mes seins. Je lentends qui râle comme lautre soir quand il sest libéré sur mes seins.
Il me maintient la tête contre son ventre et je suis obligée davaler le sperme pour respirer. Javale tout, jusquà a dernière goutte. Je suis partagée entre dégoût et jouissance. Puis la dame libère mes orifices en riant et je sens le sexe du médecin ramollir et devenir tout petit. Il sort de ma bouche mais il le frotte contre ma joue, mes lèvres mon visage comme pour lessuyer. Je suis couverte de foutre comme lautre soir, mais cette fois jai joui comme jamais.
La dame me donne une tape sur les fesses.
- Tu es bonne ma cochonne. Je vais te proposer un marché plutôt intéressant à voir tes compétences et dispositions.
(à suivre)
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